Full metadata record
DC poleHodnotaJazyk
dc.contributor.authorMudrochová, Radka
dc.contributor.authorFournier, Rémy
dc.contributor.editorTihelková. Alice
dc.contributor.editorMišterová, Yvona
dc.contributor.editorMatviyuková, Diana
dc.date.accessioned2019-03-11T08:59:40Z
dc.date.available2019-03-11T08:59:40Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.citationJazykový a kulturní prostor v proměnách 21. století: sborník příspěvků z konference Profilingua 2018, s. 75-89.cs
dc.identifier.isbn978-80-261-0834-4
dc.identifier.urihttps://old.zcu.cz/export/sites/zcu/pracoviste/vyd/online/ProfiLingua_Proceedings.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11025/31236
dc.format15 s.cs
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.language.isofrfr
dc.publisherZápadočeská univerzita v Plznics
dc.relation.ispartofseriesJazykový a kulturní prostor v proměnách 21. stoletícs
dc.rights© Západočeská univerzita v Plznics
dc.subjectneologismycs
dc.subjectUbercs
dc.subjectfrancouzštinacs
dc.subjectčeštinacs
dc.subjectsrovnávací lingvistikacs
dc.titleUber en tant que phénomène linguistique du XXIe siècle, en français et en tchèquefr
dc.typekonferenční příspěvekcs
dc.typeconferenceObjecten
dc.rights.accessopenAccessen
dc.type.versionpublishedVersionen
dc.description.abstract-translatedNous remarquons ainsi que la création de variantes est plus marquée en français qu’en tchèque, avec une fréquence plus élevée ce qui est peut-être causé par la différente vitesse de l’évolution des tendances dans la société. Prenons l’exemple des données de l’outil Google Trends grâce auquel nous pouvons observer les recherches des mots clés des internautes et donc prononcer l’hypothèse que les phénomènes socio-culturels, voire socio-économiques ont un impact plus rapide sur la société française que sur celle des Tchèques. Les deux graphiques infra montre l’intérêt pour le mot u/Uber en tchèque (à gauche) et en français (à droite). Si l’on se concentre sur la création même, nous pouvons observer que la préférence est en français donnée aux créations à accents et à la dérivation qui constitue la majorité des termes du corpus. Enfin, il faut mettre en évidence que le français comporte des formations uniques, que nous ne retrouvons pas en tchèque, à travers l’utilisation du préfixe dé. En revanche, en tchèque, il y a plus de mots attestés dans le corpus métalinguistique (Neomat), cependant après une analyse linguistique plus détaillée, nous observons un certain nombre de créations classées d’hapax. De ce point de vue, nous révélons les mots uberizace (« ubérisation ») et uberizovat (« ubériser ») comme des perspectives pour une codification, lexicalisation future dans la signification plus générale de libéralisation/libéraliser du/le marché par l’économie partagée. En somme, les différentes variantes d’Uber montrent l’appropriation sociale d’un terme à travers une période fortement contextualisée. Cette appropriation sociale n’est pas sans conséquence sur la langue et sur son évolution, nous pouvons donc nous demander si ce phénomène ira croissant au fil du temps, qu’il s’agisse de variantes affiliées à Uber, ou de variantes du futur phénomène collaboratif. Bibliographie/sitographiefr
dc.subject.translatedneologismsen
dc.subject.translatedUberen
dc.subject.translatedFrench languageen
dc.subject.translatedCzech languageen
dc.subject.translatedcomparative linguisticsen
dc.type.statusPeer-revieweden
Vyskytuje se v kolekcích:Profilingua 2018
Profilingua 2018

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